Suggestions

Suggestions pour Maria Miguel
20 juillet, 2018 / , ,

Aux 17 ans Maria Miguel a déjà dé lé pour des marques comme Saint Laurent, Chanel et Isabel Marant. La carrière – en intentant de concilier avec les études – fait Maria voyager beaucoup, mais Porto est sa maison.

La passion pour la ville est assumée et encore ré- cemment dit, dans une interview avec un journal portugais, a déclaré: « Pour moi, de toutes les vil-

les, c’est le meilleur à vivre. Il a la mer, à la rivière, a la bonne nourriture ».

Maria Miguel est née à Braga, mais a vécu dans la région de Gerês. Quand son père est allé travailler en Angola, elle a accompagné la famille et a vécu pendant sept ans dans ce pays africain. Elle á passé aussi une année en Angleterre, mais maintenant, malgré le temps qu’elle a passe à Paris, c’est à Porto qu’elle a de la famille et des amis et qu’elle revient ici quand elle peut.

La mode est venue par hasard dans la vie de ce « mary boy », qui aimait jouer au foot et se promener en short. Elle a été plusieurs fois abordé par des représentants d’agences de mannequins, mais à l’âge de 14 ans a dé- cidé d’expérimenter. Après avoir remporté le concours L’Agence go to model, des o res d’emploie ont com- mencé à émerger. Elle a voyagé à Londres et plus tard à Paris, où elle a fait un casting pour Saint Laurent qui a changé sa vie. Elle a déjà ouvert deux dé lés de la mar- que et pendant un an travaillé exclusivement pour la prestigieuse marque parisienne. Malgré tout ce succès, la jeune lle continue à ne pas être éblouie par la cé- lébrité et garde des goûts simples et normaux pour une lle de son âge.

Restaurant –
Puro 4050 : Il a la meilleure pizza aux truffes du monde!
Largo São Domingos, 84 Porto

Tour –
Baixa do Porto: Á cause de sa grande beauté, mais aussi vous pouvez faire un bon entraînement car il est plein de hauts et de bas.

Jardin –
Parque de la Ville de Porto: Parce qu’il a des terrains de foot supers!

L’ascenseur des Guindais
16 juillet, 2018 / , ,

Aujourd’hui, il y a un funiculaire, mais à la fin du XIXe siècle, la route entre la Batalha et le Quai du Guindais a été fait par un ascenseur. Inauguré le 4 juin 1891, il subit, deux ans plus tard, un accident qui lui dicta son arrêt depuis plus de 100 ans.

L’ascenseur est venu pour relier le Quai des Guindais, où les produits alimentaires sont arrivés par bateau, et la zone de Batalha qui, par sa position centrale, était un point de distribution de ces produits à d’autres points de la ville. La différence entre le point le plus haut et le point le plus bas était de 75 mètres, mais il y avait deux niveaux de pente différents (7% et 47%). L’ingénieur de Porto Raul Mesnier a réalisé le projet et les travaux ont commencé en 1889. La carrière des Guindais a été démantelée, l’ascenseur a été construit et, après plusieurs essais, inauguré en juin 1891.

Le transport a été fait par trois voitures – une d’équilibre et deux principales, avec 5,6 mètres de longueur et capacité pour 40 personnes. Dans la partie centrale de ces voitures il y avait des compartiments de luxe, avec des tapis, des sièges étouffés et des stores. Les voyages se déroulaient toutes les cinq minutes et coûtaient 40 rois, mais l’énorme investissement nécessaire pour construire et pour la manutention de l’ascenseur n’a jamais été compensé par les bénéfices. En 1893, un accident – avec seulement des dommages matériels – a dicté sa fermeture. Le funiculaire actuel a été inauguré en 2004.

Source: Tripeiro, 7e année Année XXII nº 3 mars 2003.

Les plages de Porto
17 mai, 2018 / , ,

Les jours ensoleillés et de chaleur invitent à une sortie à la plage. À Porto il n’est pas nécessaire de
se déplacer très loin pour trouver
un endroit tranquille au bord-de-mer pour des bains de soleil, se promener, ou bien encore, savourer un bon repas ou une boisson fraiche.

Avoir la mer en ville est un rêve facile à concrétiser pour qui se trouve sur Porto. Découvrez les neuf plages avec le label pavillon bleu où vous pouvezpro ter de l’été sans abdiquer de la vie citadine.

LA PLAGE DE OURIGO

La tradition des bains sur la plage de Ourigo remonte au XVI siècle, quand on croyait aux vertus médicinales de ses eaux.

LA PLAGE DE HOMEM DO LEME (Homme au Gouver- nail)

Idéal pour les enfants, puisqu’elle o re deuxparcs infantiles. C’est une plage rocheuse, qui dispose d’une plage de 374 mètres, Le nom vient de la statue de bronze, située à l’avenue de Montevideu, qui prête hommage aux pêcheurs.

LA PLAGE DE CARNEIRO (Du Mouton)

Grande plage qui était déjà très fréquentée au XIX siècle. Quelques siè- cles auparavant, cette zone était un endroit de pâturage. La légende populaire dit que ce fut ici qu’un de ces mou- tons se perdit du reste du troupeau. L’image du mouton fut éternisée au-dessus du Chalet Suisse (un kiosque qui encore de nos jours existe dans la rue de Passeio Alegre)

LA PLAGE DES PASTORAS (Bergères)

Une plage délimitée par deux môles, ce qui permet de se protégerdu vent. C’est à cet endroit que le euve Douro se jettedans l’Atlantique. Elle porte ce nom car il était de cou- tume que les bergères y amenassent les moutons pour paitre l’herbe iodée.

LA PLAGE DE GONDARÉM

Plage avec une extension de 115 mètres. Le nom donné à cette plage provient dulatin et signi e quelque chose comme le repos dans labataille. Elle possède un grand mur de pierre qui est couvert par la marée haute, la rendant plus sûr pour les enfants.

LA PLAGE DU MOLHE (Môle)

Plage possédant une extension de 168 mètres, elle doit son nom à la struc- ture côtière, ressemblant à un ponton, qui avance vers la mer et qui délimite les zones de bains. Le paysage est embelli para la Pérgola da Foz (pergola), une balustrade de ciment construite dans les années 30 et qui servit de belvédère considéré comme privilégié sur la mer. Les es- caliers et la zone voisine font que cette plage soit l’une des plus belles de Porto.

LA PLAGE DES INGLESES (Anglais)

Telquesonnom l’indique, ce fut la plage privilégiée de la communauté britannique de Porto. Elle possède une plage de 86mètres de sable, avec un suave déclin et de sable n.

LA PLAGE DE LUZ (Lumière)

Une petite plage en- tourée par des roches et par une aire de jardin sur l’av- enue du Brésil. Quand la marée est basse, nous pouvons apercevoir deux pontons, qui servent d’appuis aux bains, datant du XIX siècle.

LA PLAGE DE CASTELO DO QUEIJO (Château de From- age)

Située près du Castelo do Queijo. C’est une zone rocheuse, très prisée par les pêcheurs et par les per-sonnes qui souhaitent béné cier des bienfaisances mé- dicinales des roches.

Crédits photo: Marisa Pinheiro

Le musée de la Pharmacie de Porto – L’histoire de l’humanité à travers la santé
19 mars, 2018 / ,

C’est un musée moins connu de Porto, mais les histoires qu’il raconte commencèrent il y a des milliers d’années. Jusqu’au mois de mars, seront exposés des objets qui jusque-là n’ont jamais été montrés.

Malgré qu’il soit en dehors du circuit touristique, ce musée réuni et expose des objets qui vont intéresser ses visiteurs de tout âge. Jusqu’au 31 mars, et pour commémorer les 21 ans de ce musée, il est possible de visiter l’exposition “Museu Global 20+1”, avec des objets qui seront maintenant montrés pour la première fois au public, comme l’emballage de la première pénicilline administrée au Portugal, en 1945.

 

Um masque de fer, utilisé au XVIIème siècle pour traiter les maladies psychologiques ou moral, ou bien encore le sac-à-dos des médicaments emmené par l’alpiniste João Garcia quand il escalada l’Everest, sont quelques objets que vous pourrez voir à cette exposition.

 

Le Musée de la Pharmacie montre des objets utilisés par les civilisations antiques et de différentes cultures, comme la Mésopotamie, l’Egypte, la Grèce, Rome, les Incas, les Aztèques, l’islam, l’Afrique, le Tibet, la Chine ou le Japon, entre autres. Une reconstitution d’une ancienne pharmacie de Porto montre le patrimoine de la pharmacie portugaise.

 

Informations :

728 rue Engº Ferreira Dias, Porto

Horaire : du lundi au vendredi, de 10 à 18hoo et le dernier samedi de chaque mois de 14 à 18h00.

Billets: adultes 5.00€; étudiants: 3,50€; >65 ans, 3,50€; 50% pour les usagers de la Porto.CARD

 

 

João Espirito Santo
15 février, 2018 / , ,

Un des plus célèbres dentistes portugais, présent régulièrement en programmes télévisés, a une mission qui l’emmène à révéler un côté solidaire : faire sourire et prendre soin de la santé oral, même pour les personnes dans une situation économique plus débile.

En Portugal il est connu surtout par “Senhor Doutor” ou “Doutor João”, grâce a sa participation dans un programme de télévision dans le quel il fait des traitements dentaires gratuits aux plus défavorisés. De plus de ses consultations et investigations, il donne des cours à des écoles portugaises et espagnoles.

Né à Porto en 1979, João Espirito Santo a étudié et travaillé presque toute sa vie dans la ville, où il a fondé et dirige la Clinica Medical Art Center. Malgré, du a des questions académiques et professionnels, avoir voyagé beaucoup pendant les dernières années, Porto, et surtout la zone de Foz sont son lieu de confort. C’est ici que tient place sa clinique et réside et où se situe quelques de ses endroits favoris. Marié et père de trois fils, João Espirito Santo apprécie les plats et restaurants les plus traditionnels, et ne dispense pas une promenade en famille au bord de la mer ou du Rio Douro.

 

  • Bar 

Casa do Livro (R. da Galeria de Paris, 85 Porto)

Fé Wine & Club (Praça D. Filipa de Lencastre nº1)

  • Restaurant

Cepa Torta

Rue de Gondarém 843, Porto

  • Une promenade

Jardins de Serralves

Ou faire une promenade à vélo de  Foz jusqu’à Afurada, traversant en bateau et revenant par le pont D. Luís

  • Lieux romantiques

Jardins do Museu do Vinho Porto –  Rua de Monchique 94

  • Un secret de la ville (endroits peu connus)

Enroladinhos de fiambre (jambon) à Casa Bacelar (Praça Dom Afonso V, 55, Porto) Filet ou «cabidela»(ragoût d’abattis cuit dans le sang des volailles ) au restaurant  A Capoeira (Esplanada do Castelo 63, Porto) Capela de Santa Teresinha

Galerie de la biodiversité—Centro Ciência Viva
6 février, 2018 / , , , ,

Totalement dédié à la biodiversité, la galerie de la biodiversité-Centro Ciência Viva est beaucoup plus qu’un musée. Unifiant science et art, c’est un espace moderne et pensé pour créer des expériences inoubliables. Jusqu’à la fin d’Avril l’espace reçoit l’exposition photographique Photo Ark.

Ce centre intègre le Museu de Historia Natural e da Ciência da Universidade do Porto(MHNC-UP) constituant, avec le Jardim Botânico, un des pôles de cette institution liée à l’Université de Porto. Localisé dans la mythique Casa Andersen – Lieu qui a inspiré la célèbre poétise portugaise Sophia de Mello Breyner- la galerie de la biodiversité est entouré par le magnifique Jardim Botânico, un lieu de visite obligatoire pour les amants de la science.

C’est un lieu où l’art se mélange avec la science et l’histoire naturel, stimulant l’interactivité et les expériences sensorielles. L’exposition permanente regroupe 49 produits expositives et installations, organisés en 15 thèmes principaux qui approchent différents aspects de la diversité biologique et culturel, mais d’une forme quasiment unique partout dans le monde. Dès les modèles mécaniques jusqu’aux surfaces multimédia, existent différentes formes d’introduire le visiteur en histoires sur la vie racontés à partir de la science, de la littérature et de l’art.

 

 

L’arche de Noé photographique

Jusqu’au 29 avril, la galerie de la biodiversité reçoit l’exposition photographique de National Geographic Photo ark, basé dans le projet De Joel Sartore. 10 ans auparavant, ce photographe a dessiné un objective : photographier toutes les espèces existantes en captivité, pour créer un des plus grands fichiers de la biodiversité du monde. Cette L’arche de Noé photographique prétende émouvoir le publique à se dédié à la protection des animaux plus vulnérables. Plus de 7000 espèces ont été déjà représentés et les plus belles images peuvent maintenant être vus dans cette exposition à ne pas manquer.

Informations:

Galerie de la biodiversité

Rue de Campo Alegre, n.º 1191, Porto

Horaire. De mardi à dimanche, 10h00 à 18h00

Simple billet: 5€

Le Porto de Catarina Beirão
15 janvier, 2018 / , ,

Elle a 17 ans et les plages de Porto et de Matosinhos sont une seconde maison pour cette prometteuse surfeuse portugaise et championne régionale féminine dans la catégorie sub-18. La passion pour le surf commença à l’âge de 5 ans et lui a permis de connaître de nombreuses plages nationales et internationales, mais c’est à Porto où se trouvent certains de ces lieux favoris.

L’athlète du Surf Club de Porto ne cache pas sa passion pour la mer et pour les plages de Porto, partageant avec les lecteurs du Hey Porto ! certaines de ses suggestions pour des journées bien agréables dans la ville.

Bar : Bonaparte, avenue du Brésil

J’aime l’ambiance. J’apprécie parce que c’est un bar traditionnel situé dans le quartier où j’ai toujours vécu, parce qu’il sert un steak dans du pain fabuleux et parce que je m’y rends avec ma famille et mes amis.

 

Restaurant : Picaba – Édifice Transparent – cuisine saine, face à la mer et à la plage où j’ai initié le surf. Les employés nous connaissent et nous nous sentons comme à la maison. Il offre un menu Surf et malgré les diverses fois que je m’y rends, je ne m’en lasse pas.

 

Promenade : la marginale de la Foz jusqu’à la Ribeira– se promener, pour moi, ce doit être auprès de l’eau et si possible, voir la mer. J’ai la chance de vivre dans un quartier unique de Porto, presque face à la mer, ce qui me permet de faire cette promenade régulièrement. Une promenade qui n’est jamais la même, parce que la particularité de la mer c’est que nous la voyons toujours de façon différente. Il y a une odeur iodée typique et même les jours de brouillard et de froid, la sirène (provenant du phare pour prévenir les bateaux quand il y a du brouillard) fait de cette promenade un moment unique.

 

Lieu idéal pour surfer :   la plage de Maceda (Ovar – Aveiro)

J’adore l’accès à travers la forêt et les falaises qui font partie de la plage. C’est le lieu rêvé pour le surf.

 

Un secret de la ville : le jardin des Virtudes – moins connu auparavant, il continu à être un endroit magique. Je me souviens la première fois où je m’y suis rendue et j’ai découvert la merveilleuse vue que ce jardin possède. Une vue sur notre fleuve Douro et alors qu’il se situe au centre-ville, avec le tribunal et le jardin de la Corderie derrière. Je suis sûre que, pour celui qui s’y rend pour la première fois, il sera surpris par la vue merveilleuse sur notre ville.


Promenade – Chapelle de Fradelos
7 novembre, 2017 / , , , ,

 

“Porto a penantes” – “penantes” est une expression typique de Porto qui signifie marcher à pied – est un projet perso de Joaquim Lino, qui aime parcourir à pied et photographier quelques recoins de la ville. Tous les mois, il partagera avec les lecteurs de Hey Porto! certaines promenades, laissant des suggestions pour ceux qui visitent la ville pouvant découvrir certains secrets qui, très souvent, ni les propres habitants de Porto connaissent.

Récemment, durant l’une de ces incursions dans la ville, il entra dans la Chapelle de Fradelos, une petite église de la fin du XIXème siècle, située au carrefour entre les rues Guedes de Azevedo et Sá da Bandeira, qui généralement reste en dehors des circuits touristiques, mais qui a le mérite à être connue. Sur la façade principale et à l’intérieur il existe des azulejos de Jorge Colaço, le même auteur des azulejos qui décorent la gare de São Bento et l’église de Santo Ildefonso. Se met également en évidence son toit en stuc décoré par des médaillons au centre dorés.

PortoaPenantes

Rue Sá da Bandeira
7 novembre, 2017 / , , ,

De fermes et de ruelles est née une rue cosmopolite.

De nos jours, c’est l’une des rues les plus centrales et mouvementées de Porto, mais elle est née dans un endroit qui auparavant était occupé par des terrains agricoles, ruelles et même par des remises.

Son propre nom a une histoire curieuse: Bernardo Sá Nogueira de Figueiredo était un maréchal fidèle aux troupes libérales.  Durant le Siège de Porto, pendant la guerre entre libéraux et absolutistes, le bras qui transportait le drapeau libéral fut amputé par l’ennemi.

Il passa à être connu comme Sá Bandeira. Plus tard, il assuma des fonctions politiques de renoms, étant devenu ministre. Il sera aussi distingué avec des titres de baron, vicomte et marquis.

La rue Sá Bandeira ne surgit qu’au XIXème siècle : jusque-là, elle était encore un lieu avec des fermes et des terrains de cultures, pour beaucoup d’eux, appartenant à D. Antónia Adelaide Ferreira (A Ferreirinha), un des personnages les plus importants de l’histoire du vin de Porto. La zone avait également des petites ruelles qui furent quasiment toutes détruites.

 

La rue commença à être construite en 1836, mais les premières maisons ont surgi sept ans plus tard. En 1875, elle fut allongée jusqu’à la rue Formosa et a continué jusqu’à la rue de Fernandes Tomás (1904), ce qui obligea à la démolition des remises où se logeaient les chevaux qui, à cette époque, servaient de transports publics. Plus tard, la rue sera prolongée jusqu’à la partie sud et plus tard jusqu’à la partie nord, pour devenir ce qu’elle est actuellement.

Points d’intérêts

 

Théâtre Sá da Bandeira

Il ouvrit en 1870, mais auparavant il avait existé, sur ce lieu, des structures plus rudimentaires destinées aux spectacles. À cet endroit est passée, en 1895, Sarah Bernhardt et ce fut aussi à cet endroit qu’ont été projetés les premiers films produit au Portugal. Il serait le premier théâtre de Porto à utiliser des illuminations électriques.

 

 

 

Le marché du Bolhão

Le marché le plus traditionnel de la ville fut construit au-dessus d’une bulle d’eau (l’origine de son nom). Daté de 1850, c’est un bel exemple de l’architecture néoclassique, mais c’est à l’intérieur que se trouve l’âme de Porto. Les produits frais, la sympathie des commerçants et la fraicheur des produits traditionnels de Porto méritent une visite.

 

 

Palácio do Comércio (Palais du Commerce)

Edifice résidentiel, de commerce et de bureaux, qui surprennent par son ampleur. Ses sculptures de chevaux qui se trouvent au sommet, méritent d’être vues, bien comme toute son architecture. Il fut construit dans les années 40 par le couple d’architectes David Moreira da Silva et Maria José Marques da Silva, fille de José Marques da Silva, un des architectes les plus importants de la ville.

 

 

L’ancien café A Brasileira

Actuellement il est en chantier et sera transformé en hôtel, mais c’est un édifice avec une histoire. En 1903, Adriano Teles, qui fut émigré au Brésil, ouvrit ce café pour faire connaître sa propre marque de café. Durant les décennies de 50 à 60, c’était le lieu habituel pour les réunions de familles ou d’amis.